Remaking China’s Great Cities
Ouvrage de Samuel Y. Liang (Utah Valley University), qui étudie les transformations urbaines de trois grandes villes chinoises : Pékin, Shanghai et Canton.
Carnets du Centre Chine (CNRS/EHESS)
Carnets du Centre Chine (CNRS/EHESS)
Ouvrage de Samuel Y. Liang (Utah Valley University), qui étudie les transformations urbaines de trois grandes villes chinoises : Pékin, Shanghai et Canton.
Traduction en anglais, par Patrick Hanan, d’un roman anonyme publié en 1804. L’action se situe à Canton et est un des premiers témoignages sur le commerce et la société marchande en Chine.
La distribution de ces établissements est conditionnée par deux facteurs: d’une part la politique des autorités en matière d’opium et en particulier l’importance qu’elles accordent à la visibilité des fumeries dans l’espace urbain et, d’autre part, les stratégies des gérants de fumeries pour assurer leur rentabilité.
Compte-rendu de l’ouvrage de Xavier Paulès, Histoire d’une drogue en sursis. L’opium à Canton, 1906-1936, Paris, Éditions de l’EHESS, 2010, rédigé par David Serfass, en ligne dans «La vie des idées». Symbole de la décadence de l’ « homme malade » que devint la Chine à partir du milieu du XIXe siècle, l’opium est aujourd’hui l’objet d’un champ historiographique déjà largement balisé semble-t-il. Xaxier Paulès réfute cette impression dans un ouvrage tiré de sa thèse soutenue en 2005 [1]. Il le fait dans le...
Entretien avec Xavier Paulès, à l’occasion de la parution de son ouvrage : Histoire d’une drogue en sursis. L’opium à Canton, 1906-1936, qui vient de paraître aux Éditions de l’EHESS Comment vous est venue l’idée de faire une recherche sur l’histoire de l’opium à Canton ? Je souhaitais me consacrer à l’histoire urbaine, avec de préférence un sujet portant sur les marges de la société. Au moment de déterminer mon sujet de DEA, mon intérêt s’est donc porté sur l’opium. Le développement...
Extrait de l’ouvrage de Xavier Paulès (p. 196-201), Histoire d’une drogue en sursis. L’opium à Canton, 1906-1936, reproduit avec l’autorisation des Éditions de l’EHESS et de l’auteur. Le meilleur moyen de planter le décor de la vie des fumeries consiste à décrire du début à la fin la visite d’un client imaginaire, Monsieur Chen, dans une fumerie de quartier ou la grande salle d’une fumerie de luxe. Ce Monsieur Chen fume généralement aux mêmes heures de la journée, le plus souvent...